(Roma 28 août 2020). C’est ce que le peuple libanais ressent envers vous qui avez donné la parole à ce criminel et fieffé menteur qui est malheureusement à la tête de notre pays.
Un mensonge au détour de chaque phrase, dès le début de l’interview.
« Je n’ai jamais fui devant mes responsabilités » La France est bien placée pour savoir qu’il a non seulement fui à l’ambassade de France ce fameux 13 octobre 1990 mais de surcroît en pyjama et en abandonnant pays, femme et enfants…
« Aucun membre de ma famille n’est impliqué dans la corruption » Sa famille est la définition de la pègre par excellence, plus de 40 milliards de dollars dépensés (soit plus de la moitié de la dette publique et principale raison de l’effondrement économique du pays) par son seul gendre au seul ministère de l’énergie pour quelques heures d’électricité par 24h ?
« Le Hezbollah n’a pas attaqué les manifestants à Beyrouth »…. Effectivement, ce sont les manifestants qui se sont auto-attaqués pour le fun, car c’est connu les libanais sont créatifs.
Que de mensonges, mais j’ai tellement la nausée de ce que je lis que je n’ai même plus l’envie de continuer. Le peuple libanais exige sans attendre des excuses de Paris Match pour cette interview qu’il perçoit comme une gifle. C’est la blessure de trop.
Signé: Une libanaise parmi tant d’autres, dégoûtée de votre coup de marketing et de redorure de blason d’un criminel psychopathe qui n’a même pas adressé un mot de condoléances aux centaines de famille qui ont perdu leurs enfants, femmes, époux, parents, et qui, preuve ultime de sa déchéance, n’a même pas osé aller à leur rencontre.
Bravo à l’auteure. Rien à ajouter.