Dans le climat de tension après la décapitation du professeur qui avait montré les caricatures de Mahomet en classe, « depuis quelques jours, en France, il y a eu un maximum d’alerte pour d’éventuelles attaques », a appris l’agence ANSA auprès des sources de sécurité à Paris. En particulier, il est à craindre que les «aéroports et institutions françaises» ne soient visés par des terroristes. Si les attaques avec des «commandos style militaire» comme en 2015 semblent difficiles à répéter aujourd’hui, la France craint par contre une escalade après la main de fer du gouvernement contre les cercles islamistes, les mosquées et les associations soupçonnées de favoriser les intégristes. (ANSA)