«S’il y a un cessez-le-feu à Gaza, nous arrêterons (les attaques) sans discussion», a déclaré depuis Beyrouth le numéro deux du Hezbollah Cheikh Naïm Qassem. Le groupe chiite pro-iranien a ouvert cet autre front avec Israël, engagé contre le Hamas dans la bande de Gaza, pour apporter son «soutien» à son allié palestinien. «Si la guerre prenait fin, ce soutien militaire n’existerait plus», a souligné Qassem, sans toutefois préciser ce qui se passerait si Israël se retirait de la bande de Gaza sans déclarer officiellement un cessez-le-feu.