Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) citée par Tgcom24, les réserves d’uranium faiblement enrichi de l’Iran sont douze fois plus élevées que la limite autorisée par l’accord nucléaire de 2015. L’agence sollicite également de plus amples éclaircissements de la part de Téhéran sur son site nucléaire suspect, jugeant les informations fournies jusqu’à présent « techniquement non crédibles ».