« La voie à suivre est claire : un cessez-le-feu humanitaire. Que les parties respectent leurs obligations en vertu du droit international humanitaire, ce qui signifie la libération inconditionnelle des otages à Gaza. Il faut maintenant protéger les civils, les hôpitaux, les structures des Nations Unies, les abris et les écoles. Plus de nourriture, de l’eau, de médicaments et du carburant pour entrer à Gaza en toute sécurité, rapidement et dans la mesure où cela s’avère nécessaire, et l’arrêt de l’utilisation de civils comme boucliers humains. Aucun de ces points ne doit être soumis à des conditions par les autres », a ainsi déclaré le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, selon l’agence «ANSA».
Et Monsieur Guterres de déclarer par la suite : « la catastrophe en cours rend une trêve humanitaire urgente encore plus nécessaire à chaque heure qui passe ». « Les parties au conflit, ainsi que la communauté internationale, sont confrontées à une responsabilité immédiate et fondamentale : mettre fin à ces souffrances collectives inhumaines et accroître considérablement l’aide humanitaire à Gaza », a-t-il ajouté.