La guerre en Syrie n’est plus d’actualité, mais les affrontements se poursuivent dans le nord du pays, notamment dans la province d’Idlib, en partie aux mains de l'(ex)Armée syrienne libre, c’est-à-dire des « rebelles » et de la galaxie des milices allant des Turkmènes à celles liés à al-Qaïda, et en partie conquis par les forces dirigées par le président Bachar al-Assad, comme le rapporte le site italien spécialisé dans l’Actualité Géopolitique «Notizie Geopolitiche».
Cependant, ce qui est à l’heure actuelle le plus préoccupant, c’est la résurgence de l’EI, qui semblait avoir été vaincu en 2017 : ces derniers jours, les bombardements aériens russes sur les postes terroristes dans une zone semi-désertique entre Raqqa et Deir ez-Zor se sont succédés, dans la partie nord-est du pays.
Les États-Unis se sont également dits prêts à intervenir pour soutenir les FDS, un acronyme qui regroupe les Kurdes des YPG, des groupes sunnites anti-EI ainsi que des groupes chrétiens.