Les dirigeants « évalueront l’ensemble du comportement de la Turquie » ces derniers mois « et décideront quoi faire, au plus tard en décembre », a ainsi dit Peter Stano, porte-parole du haut représentant de l’UE Josep Borrell, à ceux qui demandent quelle sera la réponse de l’UE face à une nouvelle provocation du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui hier lors d’une visite à la ville de Verosha, a indiqué qu’il soutient une solution à deux États, rejetant l’idée de la réunification des îles. (ANSA)