Après l’attaque au couteau qui fait trois morts dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption, dans le centre de Nice, Emmanuel Macron a dénoncé une « attaque terroriste islamiste ». Il a annoncé que la présence militaire allait augmenter («de 3.000 à 7.000» militaires) sur le sol français dans le cadre de l’opération Sentinelle. Le chef de l’État a apporté le soutien « de la nation toute entière aux catholiques » et a eu un « message pour la ville de Nice si durement éprouvée » par les attentats terroristes. « Si nous sommes attaqués, c’est pour les valeurs qui sont les nôtres, notre goût de la liberté, de croire librement et de ne céder à aucun esprit de terreur. Nous n’y céderons rien », a promis le chef de l’État, dans une courte déclaration visible en tête d’article. Le Premier ministre Jean Castex a également annoncé ce jeudi que le plan Vigipirate était porté « au niveau urgence attentat sur l’ensemble du territoire national », le niveau le plus élevé.