« Nos interlocuteurs ont compris que le langage des menaces ne mène à rien et que la Turquie ne se soumettra pas au chantage et au banditisme ». C’est ce qu’a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan, une semaine avant le Conseil européen au cours duquel sera discutée l’hypothèse de sanctions contre Ankara pour les perspectives énergétiques controversées en Méditerranée orientale, dans des zones que la Grèce et Chypre revendiquent comme leurs zones économiques.